Lespertes brunes sont le rĂ©sultat d'un Ă©coulement de sang en provenance du vagin. C'est vrai, leur couleur peut intriguer, voire inquiĂ©ter. Mais qu'est-ce que les pertes marron, pourquoi se LesRWDM Girls Ă  l'Euro fĂ©minin : "On est au dĂ©but de quelque chose de grand !" Elles (et ils) sont une cinquantaine Ă  se presser dans le bloc ES7 du New York Stadium de Rotherham. Elles (et ï»żSourcede la citation inconnue Cherchez confucius sur Amazon et WikipĂ©dia. Cherchez cette citation sur Google Livre. Analyse de la phrase. Cette phrase possĂšde 13 mots. Elle est considĂ©rĂ©e comme 1 citation trĂšs courte. Cette phrase Ă©tant assez petite, nous vous proposons de lire toutes les citations courtes les plus populaires. Autres quetu dĂ©butes qu'elle dĂ©bute que nous dĂ©butions Tournure de phrase avec le verbe dĂ©buter. Futur proche. je vais dĂ©buter tu vas dĂ©buter elle va dĂ©buter nous allons dĂ©buter vous allez dĂ©buter elles vont dĂ©buter. PassĂ© rĂ©cent. je viens de dĂ©buter tu viens de dĂ©buter elle vient de dĂ©buter nous venons de dĂ©buter vous venez de dĂ©buter elles viennent de ParThe Saker – Le 23 juillet 2022 – Source The Saker Blog. Il y a cinq mois, le 24 fĂ©vrier, la Russie a commencĂ© ce qu’elle a appelĂ© une « opĂ©ration militaire spĂ©ciale » (OMS). En termes trĂšs simples, voici ce que la Russie a rĂ©alisĂ© jusqu’à prĂ©sent : L’Ukraine a perdu environ 20 % de son territoire, quelque 3 000 villes et villages, la moitiĂ© de son Lorsde son entrevue pĂ©riodique avec des reprĂ©sentants de la presse nationale au mois de fĂ©vrier dernier, le prĂ©sident de la RĂ©publique, Abdelmadjid Tebboune avait affirmĂ© que «les choses avec le Maroc n’ont pas changĂ©, depuis le dĂ©but de la crise, pis, elles se sont aggravĂ©es», accusant Rabat soutenu par l’entitĂ© sioniste de servir d’«un Malheureusementles choses ne sont pas si simples et il n’est pas sĂ»r que l’on voit apparaĂźtre un stock important de PS5 pour coĂŻncider avec le dĂ©but des soldes d’étĂ©. Tout n’est pas P4LRtv. Voici toutes les solution Elles sont le dĂ©but de quelque chose. CodyCross est un jeu addictif dĂ©veloppĂ© par Fanatee. Êtes-vous Ă  la recherche d'un plaisir sans fin dans cette application de cerveau logique passionnante? Chaque monde a plus de 20 groupes avec 5 puzzles chacun. Certains des mondes sont la planĂšte Terre, sous la mer, les inventions, les saisons, le cirque, les transports et les arts culinaires. Nous partageons toutes les rĂ©ponses pour ce jeu ci-dessous. La derniĂšre fonctionnalitĂ© de Codycross est que vous pouvez rĂ©ellement synchroniser votre jeu et y jouer Ă  partir d'un autre appareil. Connectez-vous simplement avec Facebook et suivez les instructions qui vous sont donnĂ©es par les dĂ©veloppeurs. Cette page contient des rĂ©ponses Ă  un puzzle Elles sont le dĂ©but de quelque chose. Elles sont le dĂ©but de quelque chose La solution Ă  ce niveau prĂ©mices Revenir Ă  la liste des niveauxLoading comments...please wait... Solutions Codycross pour d'autres langues Pourquoi est-il si utile de connaĂźtre quelques sujets de conversation intĂ©ressants ? 
Parce que comme vous ĂȘtes une personne intĂ©ressante, vous avez un flot de pensĂ©es qui nagent dans votre tĂȘte, n’est-ce pas ? Ils vont de l’absurde au pratique et vous avez hĂąte de les partager avec le monde. Et malheureusement, de temps Ă  autre, il se peut que vous n’ayez plus de questions Ă  poser un blanc silencieux et gĂȘnant fait sont apparition. Peut-ĂȘtre que la fille Ă  qui vous parlez vous donne le trac ou que votre partenaire de discussions est aussi intĂ©ressant qu’un sac en plastique mouillĂ©. Et si c’était vous le sac en plastique mouillĂ© ? Que pouvez-vous faire ? Et bien
 Rien dans la vie n’est obtenu en sautant des Ă©tapes, y compris une conversation rĂ©ussie et stimulante. Donc, lorsque vous n’avez plus de questions Ă  poser, recommencez Ă  zĂ©ro et pensez Ă  un sujet Ă  aborder. Trouver un sujet sur lequel se concentrer est le tremplin parfait pour vous mener vers une conversation intĂ©ressante. Les sujets de conversation sont nombreux et vont de la famille au travail en passant par les passe-temps et les rĂȘves. Une fois que vous avez une idĂ©e de l’endroit oĂč la conversation devrait se dĂ©placer, vous pouvez commencer Ă  rĂ©flĂ©chir aux questions qui se rapportent au sujet. Les choses progresseront naturellement Ă  partir de lĂ  et avant que vous ne vous en rendiez compte, vous regarderez l’horloge en vous demandant oĂč est passĂ© le temps. Ci-dessous nous avons quelques sujets de conversation intĂ©ressants pour votre plaisir. Les questions de conversation couvrent une grande variĂ©tĂ© de sujets de conversation parfaites pour dĂ©marrer des conversations intĂ©ressantes ! Liste de Sujets de Conversation IntĂ©ressants Au fil du temps, nous ajouterons probablement plus de sujets et de questions de conversation, mais c’est ce que nous avons jusqu’à prĂ©sent. Jetez un coup d’Ɠil et voyez s’il y a un sujet qui vous intĂ©resse. Les dĂ©but de conversation sont le meilleur moyen d’apprendre Ă  connaĂźtre quelqu’un que vous ne connaissez pas. Ils sont destinĂ©s Ă  vous aider Ă  savoir Ă  qui vous parlez et Ă  vous mettre Ă  l’aise l’un avec l’autre. Voici 104 sujets et questions intĂ©ressants pour dĂ©marrer une conversation Conversations sur la BeautĂ© La beautĂ© est partout autour de nous, et Ă©trangement, nous ne pourrions probablement pas vivre sans elle. Mais peut-on dĂ©finir la beautĂ© ? Peut-ĂȘtre ou peut-ĂȘtre pas, mais au moins vous pouvez explorer l’idĂ©e de la beautĂ© en ayant une discussion avec ces questions de conversation sur la beautĂ©. COMMENT L’ABSENCE DE BEAUTÉ AFFECTE-T-ELLE LES GENS ?Il peut s’agir d’une beautĂ© physique, Ă©motionnelle ou abstraite. Quels sont les rĂ©sultats si l’un d’entre eux n’est pas prĂ©sent ? LA BEAUTÉ N’EST-ELLE QUE DANS L’ƒIL DU SPECTATEUR, OU PEUT-ON DIRE QUE CERTAINES CHOSES SONT UNIVERSELLEMENT BELLES ?C’est discutable. Une chose que vous trouvez belle peut ne pas ĂȘtre belle pour quelqu’un d’autre. QU’EST-CE QUI FAIT QU’UNE PERSONNE EST BELLE POUR TOI?L’apparence ? Attitude ? PersonnalitĂ© ? QU’EST-CE QUI FAIT QU’UNE ƒUVRE D’ART EST BELLE À TES YEUX ?Les artistes mettent en Ɠuvre en sachant que leurs piĂšces ne seront pas apprĂ©ciĂ©es par tout le monde. Il faut avoir les tripes. QUEL EST LE MEILLEUR COMPLIMENT QUE TU AIES JAMAIS REÇU ?Ma mĂšre-grand, que vous avez de grandes dents ! Comment les normes de beautĂ© ont-elles Ă©voluĂ© au fil des ans ?OĂč est le plus bel endroit oĂč vous avez Ă©tĂ© ?Quelle est la plus belle chanson que vous avez entendue ?Existe-t-il des exemples frappants de beautĂ© dans l’art ?Quelle est la plus belle chose dans votre vie ? Conversations sur les Amis et la famille Dans le meilleur des cas, ces deux sont interchangeables. Les vrais amis sont comme une famille et les vĂ©ritables proches sont des amis. Nous avons tous l’un, l’autre, ou les deux, et parler des gens qui peuvent nous dĂ©finir est une excellente façon de savoir Ă  qui vous parlez. LEQUEL DE VOS AMIS OU DE VOTRE FAMILLE ADMIREZ-VOUS LE PLUS ?Tout le monde a un ami ou un membre de la famille auquel il souhaite ressembler. QU’EST-CE QUE TU AS FAIT QUAND TU ÉTAIS ENFANT ET QUE TA FAMILLE NE SAIT TOUJOURS PAS ?Est-il toujours enterrĂ© dans la cour arriĂšre ? QUELLES SONT LES RAISONS LES PLUS COURANTES POUR LESQUELLES LES AMITIÉS S’EFFONDRENT ?Parfois, les choses ne marchent pas. QUELLE EST LA MEILLEURE FAÇON DE SE FAIRE DE NOUVEAUX AMIS ?Comment se faire des amis par Dale Carnegie est une excellente ressource si vous avez vous-mĂȘme des problĂšmes avec cela. QUEL EST LE TYPE D’AMI LE PLUS ÉNERVANT ?Le profiteur ? Le ragoteur ? Celui qui pue ? QU’EST-CE QUI SÉPARE LES VRAIS AMIS DES CONNAISSANCES ?Les amitiĂ©s peuvent ĂȘtre difficiles, surtout si elles ne sont pas rĂ©ciproques. Quelle est ta dĂ©finition d’un vrai ami ? AS-TU DES TRADITIONS FAMILIALES ? SI OUI, LEQUELLES ?Les mamans sont les maĂźtres d’Ɠuvre des traditions familiales. Qu’est-ce qu’elle te traĂźne Ă  chaque annĂ©e que tu aimes secrĂštement ? À qui ressembles-tu le plus dans ta famille ?Qui est la personne la plus gĂ©nĂ©reuse de ta famille ?Aimes-tu aller aux rĂ©unions de famille ? Pourquoi ou pourquoi pas ?À quelle frĂ©quence vois-tu tes parents ?Quelle est l’importance des liens familiaux pour toi ?Comment ta famille a-t-elle façonnĂ© ta personnalitĂ© et qui tu es devenu ?Quelle est la meilleure et la pire chose Ă  propos de ta famille ?Quelle qualitĂ© valorisez-vous le plus chez vos amis ?Est-ce que certains de tes amis sont complĂštement opposĂ©s Ă  toi ou est-ce que la plupart d’entre eux te ressemblent ?Est-ce que tu te fais des amis facilement ou est-ce que tu trouves difficile de te faire de nouveaux amis ?Qui est ton ami le plus Ă©trange ? Qu’est-ce qui les rend Ă©tranges ?Es-tu un bon ami ? Pourquoi ou pourquoi pas ?Quelle est la meilleure façon de se faire de nouveaux amis ? Conversations sur L’Univers Maintenant, voici un grand sujet Ă  aborder ! L’espace, l’ultime frontiĂšre. L’immensitĂ© de l’espace est un vrai casse-tĂȘte, mais cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas avoir une conversation intĂ©ressante Ă  ce sujet ! Voici quelques questions pour vous aider Ă  dĂ©marrer
 SI TU POUVAIS ALLER N’IMPORTE OÙ DANS L’UNIVERS, OÙ IRAIS-TU ?Une annĂ©e-lumiĂšre est la distance qu’il faut Ă  la lumiĂšre pour parcourir en une annĂ©e. PrĂšs de 6 millions de kilomĂštres. QUEL EST LE FAIT LE PLUS COOL DE L’UNIVERS QUE TU CONNAIS ?Penser Ă  l’apparente absence de limites de l’univers peut ĂȘtre effrayant. Mais vous pouvez le gĂ©rer. CONSIDÈRES-TU TOUJOURS PLUTON COMME UNE PLANÈTE ?Pluton a-t-il encore besoin d’amour ou pouvons-nous enfin le laisser aller ? ACCEPTERAIS-TU UNE MISSION POUR COLONISER UNE AUTRE PLANÈTE SI CELA SIGNIFIAIT NE JAMAIS REVENIR SUR TERRE ?L’astronaute Scott Kelly a passĂ© la derniĂšre annĂ©e dans l’espace et les effets qu’il a eus sur son corps sont surprenants. SI TU POUVAIS POSER UNE QUESTION À DIEU, QU’EST-CE QUE CE SERAIT ?Ignorez vos pensĂ©es sur l’existence de Dieu et utilisez votre imagination pour celle-ci ! OĂč aimerais-tu le plus voyager dans l’espace ? En supposant que tu puisses y aller instantanĂ©ment et survivre aux conditions que le tourisme spatial sera en plein essor dans un avenir proche ? Pourquoi ou pourquoi pas ?Quelle est la chose la plus importante que les astronomes doivent rechercher ? Conversations sur les Voyages Voyager est essentiel pour devenir un personnage plus mondain. Alors, sortez et faites l’expĂ©rience du monde. C’est plus facile que vous ne le pensez. QUEL EST L’ENDROIT LE PLUS INTÉRESSANT QUE TU AS VISITÉ ?La plupart des voyageurs ont un favori. SI TU POUVAIS VIVRE N’IMPORTE OÙ DANS LE MONDE, OÙ CHOISIRAIS-TU ?Pour quel endroit laisseriez-vous tout derriĂšre vous ? SI TU POUVAIS PARTIR EN VOYAGE N’IMPORTE OÙ DANS LE MONDE AVEC N’IMPORTE QUI, OÙ IRAIS-TU ET QUI EMMÈNERAIS-TU ?Qui a dit que tu dois emmener quelqu’un ? Les voyages en solo sont parfaits pour explorer qui vous ĂȘtes. QUAND TU PENSES À “MAISON”, À QUOI PENSES-TU ?La maison est lĂ  oĂč se trouve le cƓur. HÔTEL OU TENTE ?Le grand air ou le confort Ă  l’intĂ©rieur ? As-tu voyagĂ© dans diffĂ©rents pays ? Lesquels ?Quel est l’endroit le plus relaxant oĂč tu as Ă©tĂ© ?PrĂ©fĂšres-tu voyager seul ou en groupe ?OĂč aimerais-tu voyager ensuite ?Quelle est la meilleure maniĂšre de voyager ? avion, voiture, train, etc.Qu’est-ce qu’il y a de meilleur quand on voyage ? Et la pire des choses ?Quel est le voyage en avion le plus long que tu aies fait ?Quel est le pire hĂŽtel oĂč tu as sĂ©journĂ© ? Et le meilleur hĂŽtel ? Conversations Bizarres et Inhabituelles Ces questions sont tout simplement amusantes et peuvent transformer la conversation en une conversation absurde ! SI TU POUVAIS AJOUTER UN MOT AU DICTIONNAIRE, QUEL MOT SERAIT-IL, ET QU’EST-CE QUE CELA SIGNIFIERAIT ?De nouveaux mots sont ajoutĂ©s chaque mois. QUELLE EST LA CHOSE LA PLUS INSOLITE DANS TON PORTEFEUILLE, TA POCHE OU TON SAC À MAIN EN CE MOMENT MÊME ?Vous avez probablement quelque chose que vous avez oubliĂ©. SI TOUS TES MEUBLES PRENAIENT VIE, LEQUEL TE FERAIT LE PLUS PEUR ?“Sois notre invitĂ© !”, cria la toilette. SI TON MEILLEUR AMI A ÉCRIT UN LIVRE SUR TOI, QUEL EN SERAIT LE TITRE ? ET TON PIRE ENNEMI ?Un best-seller du New York Times, sans doute. Le temps se fige pour tout le monde sauf toi pour une journĂ©e. Qu’est-ce que tu fais ?Si tu pouvais appeler n’importe qui dans le monde et avoir une conversation d’une heure, qui appellerais-tu ?Tu dois revivre un jour de ta vie pour toujours. Quel jour choisis-tu ?Si ton esprit Ă©tait une Ăźle, Ă  quoi ressemblerait-il ?Quelle saveur de crĂšme glacĂ©e aimerais-tu voir exister ?A quoi ressemble ton enfer personnel ? Qu’en est-il de ton paradis personnel ?Un portail vers un autre monde s’ouvre devant toi. Tu ne sais pas combien de temps il restera ouvert ou si tu pourras revenir aprĂšs ton passage. Qu’est-ce que tu fais ?Si tu avais une mascotte personnelle, quelle serait ta mascotte ?Tu trouves une tĂ©lĂ©commande qui peut rembobiner, avancer rapidement, arrĂȘter et dĂ©marrer l’heure. Qu’est-ce que tu en fais ?Si tu Ă©tais roi/reine, Ă  quoi ressemblerait ton trĂŽne ?Si tu Ă©tais en fuite de la police pour un crime que tu n’as pas commis, oĂč irais-tu ? Conversations sur les Valeurs Chacun devrait avoir un ensemble dĂ©fini de morales et de valeurs. Pensez Ă  ce qui est important pour vous et assurez-vous de respecter les normes que vous vous ĂȘtes fixĂ©es. Personne ne peut vous enlever ça. QUEL EST LE DÉFI QUE TU NE VOUDRAIS JAMAIS AVOIR À FAIRE FACE ?Regarde les choses en face. Tu sortiras plus fort Ă  la fin. SI TU POUVAIS, COMMENT CHANGERAIS-TU LE MONDE ?Le fait de dĂ©clencher une conversation avec un caissier a plus de pouvoir que vous ne le pensez. QUELLE SITUATION DE LA VIE RÉELLE OÙ TU AS DÉFENDU QUELQU’UN OU QUELQUE CHOSE ?Le fait d’avoir des valeurs dĂ©finies vous permettra de dĂ©fendre ce que vous croyez ĂȘtre juste. QUAND ET OÙ TE SENS-TU LE PLUS PROCHE DE TOI-MÊME ?Qu’est-ce qui vous fait lĂącher prise et ĂȘtre vous-mĂȘme ? DIS-TU “OUI” TROP SOUVENT QUAND TU VEUX VRAIMENT DIRE “NON” ?Il peut sembler terrifiant de dire “non” Ă  quelqu’un. Dans la plupart des cas, cependant, cette personne comprendra parfaitement et vous rĂ©aliserez que vous n’aviez aucune raison de vous inquiĂ©ter. POURQUOI EST-IL PARFOIS DIFFICILE DE PARDONNER AUX AUTRES ?Les gens nous font parfois du mal. Pour passer Ă  autre chose, il est essentiel de comprendre pourquoi vous ĂȘtes blessĂ© et comment pardonner. Quels sont les moments les plus positifs et les plus nĂ©gatifs de ta vie ?Comment tes forces t’ont-elles aidĂ© Ă  rĂ©ussir ? Comment tes dĂ©fauts t’ont-ils gĂȘnĂ© ?Quels sont tes plus grands objectifs pour l’avenir ? Quels progrĂšs as-tu fait pour les atteindre ?Qui es-tu vraiment ? Qui est derriĂšre le masque que tu montres au reste du monde ?Qu’est-ce qui t’empĂȘche d’ĂȘtre la personne que tu veux ĂȘtre ?OĂč va ta vie ?Comment penses-tu que tu vas mourir ?Comment rĂ©agirais-tu s’il y avait une preuve irrĂ©futable que Dieu n’existe pas ? Et s’il y avait une preuve irrĂ©futable de l’existence de Dieu ? Conversations sur L’humanitĂ© SI TU AVAIS L’ATTENTION DU MONDE PENDANT SEULEMENT 10 SECONDES, QUE DIRAIS-TU ?Faites en sorte que ça compte. QUELLE EST LA QUESTION CONTROVERSÉE – SOCIALE OU POLITIQUE – QUI TE TIENT À CƒUR ?Il n’y a pas de pĂ©nurie de l’un ou l’autre Ă  notre Ă©poque. QUEL EST, SELON TOI, L’ÉVÉNEMENT LE PLUS SIGNIFICATIF DANS L’HISTOIRE DE LA RACE HUMAINE ?Les humains ont parcouru un long chemin. OĂč avons-nous rĂ©ussi Ă  ĂȘtre humains ? COMMENT SERA LE MONDE DANS VINGT-CINQ ANS ?Est-il contrĂŽlĂ© par des politiciens et des entreprises corrompus ou sommes-nous parvenus Ă  la paix dans le monde ? La nature humaine est-elle constante ou façonnĂ©e par la culture ? La nature humaine peut-elle ĂȘtre complĂštement changĂ©e par la culture ou la sociĂ©tĂ© ?Les humains sont-ils meilleurs dans la crĂ©ation ou la destruction ?Quelles sont les meilleures et les pires parties de la nature humaine ?Si le fait d’appuyer sur un bouton signifiait que tu as reçu 5 millions de dollars mais qu’il a aussi tuĂ© 5 personnes quelque part dans le monde, appuierais-tu sur ce bouton ? Et s’il ne tuait qu’une seule personne ou s’il tuait 20 personnes ? Et si les gens Ă©taient des gens que tu connaissais ?Si tu devais rĂ©sumer toute l’espĂšce humaine en 3 mots, quels seraient ces mots ?Quels aspects de l’homme ont fait de nous une espĂšce Ă  succĂšs ?Quelle est la meilleure façon d’explorer la nature humaine psychologie, philosophie ou biologie ? Conversations sur les Espoirs et RĂȘves Nous avons tous nos rĂ©ussites et nos Ă©checs. Ils font de nous ce que nous sommes et sont souvent le reflet Ă  travers lequel les gens nous voient. Utilisez ces amorces de conversation pour avoir une grande conversation sur les espoirs et rĂȘves. SI TU POUVAIS SOUHAITER QU’UNE CHOSE SE RÉALISE CETTE ANNÉE, QU’EST-CE QUE CE SERAIT ?Qu’est-ce qu’elle veut plus que tout cette annĂ©e ? POUR QUOI AIMERIEZ-VOUS ÊTRE CONNU ?Nous voulons tous laisser un hĂ©ritage. Quel est le votre ? COMMENT SERAS-TU QUAND TU AURAS 75 ANS ?Jeune, sauvage et libre. COMMENT ESPÈRES-TU QUE TA VIE SERA DANS 10 ANS ?Projetez-vous vers le futur, rĂ©alisez vos rĂȘves les plus fous. Quels sont les meilleurs critĂšres pour mesurer le succĂšs ?Y a-t-il des Ă©checs dans ta vie dont tu es fier ?Quel est ton plus grand accomplissement ? Et ton plus gros Ă©chec ?Quels sont les rĂ©ussites que vous avez eues dans votre vie personnelle ?Quels sont les Ă©checs que tu as eus dans ta vie professionnelle ?Quelle est la plus grande leçon que tu as tirĂ©e d’un Ă©chec ?As-tu dĂ©jĂ  transformĂ© un Ă©chec en rĂ©ussite ?Apprends-tu habituellement de tes Ă©checs ou est-ce que tu les rĂ©pĂštes sans cesse ?Qui est la personne qui a le plus de succĂšs que tu connais ? Qu’en est-il de la personne qui a le plus de succĂšs que vous connaissez personnellement ?Quel est le plus rĂ©cent exploit que tu aies eu ?Quel est le prochain grand projet vers lequel tu travailles ? En conclusion Vous vous sentez plus intĂ©ressant ? Vous avez parcouru la liste, vous avez fait vos propres recherches et vous devriez maintenant comprendre les secrets et les avantages d’avoir des sujets de conversation Ă  portĂ©e de main. Avec les bonnes questions Ă  poser, les bons sujets de conversation
. et un esprit ouvert, vous devriez ĂȘtre prĂȘt Ă  entamer toute conversation avec confiance et enthousiasme. Bien sĂ»r, vous n’ĂȘtes pas limitĂ© Ă  ces sujets intĂ©ressants. Parlez de tout ce qui vous passionne et vous ne pouvez pas vous tromper. Alors, qu’attendez-vous ? Sortez et ayez vos propres conversations intĂ©ressantes ! Pour bien se reprĂ©senter le rĂŽle immense de la religion, il faut envisager tout ce qu'elle entreprend de donner aux hommes ; elle les Ă©claire sur l'origine et la formation de l'univers, leur assure, au milieu des vicissitudes de l'existence, la protection divine et la bĂ©atitude finale, enfin elle rĂšgle leurs opinions et leurs actes en appuyant ses prescriptions de son autoritĂ©. Ainsi remplit-elle une triple fonction. En premier lieu tout comme la science mais par d'autres procĂ©dĂ©s, elle satisfait la curiositĂ© humaine et c'est d'ailleurs par lĂ  qu'elle entre en conflit avec la science. C'est sans doute Ă  sa seconde mission que la religion doit la plus grande partie de son influence. La science en effet ne peut rivaliser avec elle, quand il s'agit d'apaiser la crainte de l'homme devant les dangers et les hasards de la vie ou de lui apporter quelque consolation dans les Ă©preuves. La science enseigne, il est vrai, Ă  Ă©viter certains pĂ©rils, Ă  lutter victorieusement contre certains maux impossible de nier l'aide qu'elle apporte aux humains, mais dans bien des cas elle ne peut supprimer la souffrance, et doit se contenter de leur conseiller la rĂ©signation ». Freud. Nouvelles confĂ©rences sur la psychanalyse. Objet du texte Bien se reprĂ©senter » c'est se faire une idĂ©e claire et distincte de quelque chose. Freud invite d'abord Ă  bien se reprĂ©senter un fait le phĂ©nomĂšne religieux a un poids Ă©norme dans le monde. Les religions sont des grands faits collectifs contribuant puissamment Ă  donner au monde sa forme et sa couleur, sans doute Ă  dĂ©terminer son destin. Au fond Freud demande de prendre acte d'un fait politiquement, gĂ©opolitiquement le fait religieux a une importance majeure. Pour se faire une idĂ©e trĂšs claire de cette rĂ©alitĂ© ; entendons pour en prendre la mesure exacte il convient d'articuler ce fait Ă  un autre fait, peut-ĂȘtre moins donnĂ© Ă  l'observation naĂŻve il faut, dit le texte, envisager tout ce que la religion entreprend de donner aux hommes ». Il faut » c'est-Ă -dire il est absolument nĂ©cessaire de comprendre que la force de la religion tient Ă  la force des intĂ©rĂȘts humains qu'elle a pour mission de satisfaire. La religion est au service des besoins, des affects des hommes. Elle a une dimension utilitaire. L'immensitĂ© de son rĂŽle sur le théùtre des affaires humaines est proportionnelle Ă  l'immensitĂ© des services qu'elle rend. Freud montre qu'ils sont de trois ordres Une religion propose une conception du monde. En ce sens elle remplit une fonction thĂ©orique par oĂč elle entre en conflit avec la science. Elle apaise les craintes et nourrit les espoirs d'un ĂȘtre confrontĂ© Ă  l'angoisse de sa finitude et de sa misĂšre existentielle. Freud prĂ©cise que c'est sans doute Ă  cette seconde mission que la religion doit la plus grande partie de son influence ». Il souligne ainsi la souverainetĂ© des affects dans la vie des hommes. Leur puissance est sans commune mesure avec les exigences pures de l'esprit telle que, par exemple l'exigence de vĂ©ritĂ©. VoilĂ  pourquoi les hommes confondent d'ordinaire ce qui est vrai ou juste avec ce qu'il leur est utile ou agrĂ©able de croire tel. LĂ  est le ressort de l'efficacitĂ© psychologique de toutes les idĂ©ologies et de toutes les religions. Elles sont infiniment plus influentes que la science car celle-ci n'est pas au service des affects au contraire la science requiert pour ĂȘtre Ă©laborĂ©e une ascĂšse, un effort pour s'arracher Ă  ce que Platon dĂ©finit mĂ©taphoriquement comme la prison du corps afin de faire triompher les requĂȘtes de l'esprit et elle est beaucoup moins capable de rendre aux hommes les services que leur rend la religion. Les hommes, en effet, sont majoritairement des ĂȘtres sensibles ne poursuivant pas de maniĂšre dĂ©sintĂ©ressĂ©e la vĂ©ritĂ© et le bien. Les systĂšmes de reprĂ©sentation ordonnĂ©s Ă  la satisfaction de leurs intĂ©rĂȘts sensibles ont donc infiniment plus de prestige Ă  leurs yeux que les savoirs Ă©laborĂ©s de maniĂšre dĂ©sintĂ©ressĂ©e. Elle donne Ă  ses adeptes un code de conduite et un systĂšme de pensĂ©e d'autant plus aptes Ă  les cohĂ©rer qu'ils procĂšdent de l'autoritĂ© du sacrĂ©. Les religions ont en effet le pouvoir de cimenter idĂ©ologiquement les membres d'un groupe. Elles dĂ©finissent une orthopraxie ce qu'il convient de faire adossĂ©e Ă  une orthodoxie ce qu'il convient de croire dont le mĂ©rite est d'Ă©chapper Ă  la dĂ©libĂ©ration collective. Pas de conflits d'opinions, pas de dĂ©bats dans les systĂšmes politiques fondĂ©s sur le thĂ©ologique. Elles assurent ainsi une stabilitĂ© et une cohĂ©sion du corps politique qu'il est bien difficile d'obtenir lĂ  oĂč les hommes sont reconnus comme les seuls instituteurs des savoirs et des lois. La religion sert donc bien de multiples intĂ©rĂȘts ; elle remplit une fonction thĂ©orique, une fonction psychologique et une fonction politique. Remarquons que le texte proposĂ© Ă  notre analyse ne fait que signaler la fonction thĂ©orique et la fonction politique. Il n'approfondit pas ces aspects du phĂ©nomĂšne religieux mĂȘme s'il est suffisamment explicite pour interdire de faire l'impasse sur leur importance. L'analyse freudienne se concentre sur la dimension psychologique du fait religieux, ce qui ne saurait nous Ă©tonner. Freud n'est ni un Ă©pistĂ©mologue ni un penseur politique. C'est un spĂ©cialiste de la psychologie des profondeurs qui sait par expĂ©rience combien le dĂ©terminisme psychique conscient ou inconscient Ɠuvre dans tout ce qui est humain. L'enjeu de sa confĂ©rence et par lĂ  mĂȘme de ce texte est donc de psychanalyser la religion et de mettre en perspective le discours religieux et le discours scientifique afin de montrer que dans le conflit qui les oppose de maniĂšre rĂ©currente la science est vaincue d'avance ; elle ne peut pas rivaliser avec la religion parce que les requĂȘtes de la psychĂ© sont infiniment plus puissantes que celles de la raison. Explication dĂ©taillĂ©e. Pourquoi la religion ThĂšme a-t-elle une place si importante dans la vie des hommes d'hier, d'aujourd'hui et sans doute de demain ? Et pourquoi dans sa concurrence avec le discours religieux, le discours scientifique ne peut-il pas rivaliser ? Telles sont les questions que Freud affronte dans ce texte oĂč il analyse le statut de la religion dans l'Ă©conomie de l'existence humaine. Il prend en considĂ©ration le phĂ©nomĂšne religieux en gĂ©nĂ©ral, non telle ou telle religion et Ă©tablit que toute religion remplit une triple fonction. ThĂšse Dans la premiĂšre phrase du texte il Ă©numĂšre ces trois fonctions. La religion, apprend-on satisfait la curiositĂ© humaine, elle apaise l'angoisse et entretient l'espoir ; elle normalise les rapports sociaux en consacrant de son autoritĂ© un code de conduite et un systĂšme de reprĂ©sentation. A partir de la troisiĂšme phrase, Freud explicite la nature des deux premiĂšres fonctions nommĂ©es en mettant en concurrence la religion et la science. Il s'agit pour lui de faire apparaĂźtre pourquoi la science ne peut pas rivaliser avec la religion. Enjeu du texte Constat amer pour un homme de science, mais constat d'une grande clairvoyance. On comprend clairement pourquoi le combat des LumiĂšres n'est jamais achevĂ© et mĂȘme pourquoi il est perdu d'avance. 1 La rivalitĂ© science / religion du point de vue thĂ©orique. L'une et l'autre satisfont la curiositĂ© humaine. La curiositĂ© est l'expression de la nature spirituelle de l'ĂȘtre humain. Parce qu'il est esprit l'homme se pose des questions, il a besoin de s'expliquer le monde dans lequel il vit ou sa propre existence. D'oĂč venons-nous ? Qui sommes-nous ? OĂč allons-nous ? Il veut savoir et soumet la totalitĂ© du rĂ©el Ă  l'interrogation. VoilĂ  pourquoi les hommes mĂ©diatisent leur rapport au rĂ©el par des paroles, des rĂ©cits ayant pour fonction de rĂ©duire l'Ă©trangetĂ© des choses et de se les approprier symboliquement. Ils Ă©laborent ainsi des systĂšmes de reprĂ©sentation du rĂ©el qui leur donnent une vue d'ensemble et expliquent par un principe unique un ensemble de phĂ©nomĂšnes. C'est ce que Freud appelle dans sa confĂ©rence une conception de l'univers. Il faut entendre par lĂ  une construction intellectuelle ayant un caractĂšre systĂ©matique et unifiĂ©. La religion et la science proposent l'une et l'autre de tels systĂšmes mais comme l'Ă©crit Freud elles ne procĂšdent pas du tout de la mĂȘme maniĂšre. Leur point commun elles produisent de l'intelligibilitĂ© propice Ă  des amalgames douteux au fond prĂ©tend-on complaisamment elles procĂšdent l'une et l'autre d'un souci de savoir et l'une a autant autoritĂ© que l'autre dans leur domaine respectif ne doit pas minimiser l'hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© radicale de ces discours et leur antinomie. Freud n'Ă©lucide pas, dans ce passage, cette hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© mais dans sa confĂ©rence il s'emploie Ă  pointer les diffĂ©rences afin d'Ă©tablir que la science et la religion n'ont pas des droits Ă©gaux Ă  la vĂ©ritĂ©. PrĂ©tendre le contraire est de son aveu le propre d'une reprĂ©sentation anti-scientifique de la rĂ©alitĂ©. La vĂ©ritĂ©, Ă©crit-il, ne peut pas ĂȘtre tolĂ©rante, elle ne doit admettre ni compromis, ni restrictions. La science considĂšre comme siens tous les domaines oĂč peut s'exercer l'activitĂ© humaine et devient inexorablement critique dĂšs qu'une puissance tente d'en aliĂ©ner une partie ». PB Qu'est-ce donc qui distingue le discours religieux et le discours scientifique en ce qui concerne le souci de rendre intelligible le rĂ©el ? Pour l'analyse dĂ©taillĂ©e voir le corrigĂ© la science est-elle incompatible avec la religion?. Conclusion Au terme de cette comparaison, il apparaĂźt que la religion ne peut pas rivaliser avec la science sur la plan thĂ©orique. Ses Ă©noncĂ©s n'Ă©tant ni des "vĂ©ritĂ©s de fait" ni des "vĂ©ritĂ©s de raison", elle est extĂ©rieure au champ de la rationalitĂ©. Hume Ă©crivait en ce sens Si nous prenons en main un volume quelconque de thĂ©ologie ou de mĂ©taphysique scolastique, par exemple, demandons-nous Contient-il des raisonnements abstraits sur la quantitĂ© et le nombre ? Non. Contient-il des raisonnements expĂ©rimentaux sur des questions de fait et d'existence ? Non. Alors, mettez-le au feu, car il ne contient que sophismes et illusions». EnquĂȘte sur l'entendement humain. 1748. 2 La rivalitĂ© science/religion sur le plan existentiel ou psychologique. L'analyse freudienne Ă©tablit que de ce point de vue la science ne peut pas concurrencer la religion. Son infĂ©rioritĂ© procĂšde de son impuissance Ă  rendre aux hommes les inestimables services que la religion leur rend. - Celle-ci leur assure la protection divine et la bĂ©atitude finale ». - Elle apaise leurs craintes devant les dangers et les hasards de la vie ...elle leur apporte quelques consolations dans les Ă©preuves ». ProtĂ©ger », apaiser », consoler ». Tous ces termes pointent le rapport du discours religieux Ă  des affects. Ils dĂ©voilent le sujet de ce discours ou son adepte, beaucoup moins comme un esprit curieux, soucieux de contempler la vĂ©ritĂ© que comme un ĂȘtre affectif dont les reprĂ©sentations sont ordonnĂ©es Ă  la satisfaction de certains dĂ©sirs. -Besoin ou dĂ©sir de protection. Il semble bien, en effet, que quelles que soient les religions, les hommes attendent des dieux auxquels ils vouent un culte une tutelle protectrice. Par des rites, par des priĂšres, par des sacrifices ils cherchent Ă  apaiser leurs courroux, Ă  attirer sur eux leurs faveurs. Tout se passe comme si les religions s'adressaient en chacun de nous Ă  celui qui, comme l'enfant a besoin d'un pĂšre pour veiller sur lui, lui apporter soins et attentions, Ă©loigner les dangers menaçants lui donnant ainsi un salutaire sentiment de sĂ©curitĂ©. -Besoin d'ĂȘtre apaisĂ©. Les dangers ne manquent pas dans une vie d'homme. Maladies, Ă©chec sentimental ou professionnel, solitude, misĂšre, guerres, deuils, proximitĂ© de la mort. Notre condition est bien celle d'un ĂȘtre misĂ©rable. Vivre c'est ĂȘtre exposĂ© aux alĂ©as de la vie de telle sorte que le souci, l'inquiĂ©tude, l'angoisse sont notre lot commun. D'oĂč l'intĂ©rĂȘt d'un discours qui, Ă  dĂ©faut de dissiper les craintes les tient en respect par la confiance en une puissance protectrice et bienveillante. -Besoin d'ĂȘtre consolĂ© et d'espĂ©rer un monde meilleur. L'homme dĂ©sire ĂȘtre heureux or il a souvent rendez-vous avec le malheur. Il lui semble que le bonheur devrait ĂȘtre la rĂ©compense de la vertu or il observe parfois que le bon est accablĂ© tandis que tout semble rĂ©ussir au mĂ©chant. On comprend lĂ  encore l'avantage d'un discours aidant Ă  supporter les Ă©preuves en leur donnant un sens ex Dieu Ă©prouve ceux qu'il aime » Dieu donne, Dieu reprend » et qui invite Ă  l'espĂ©rance d'un au-delĂ  oĂč la misĂ©ricorde divine effacera les souffrances prĂ©sentes et donnera la bĂ©atitude paradisiaque. Il va de soi que la connaissance scientifique ne peut donner de telles satisfactions. Le but de la science est la dĂ©couverte de la vĂ©ritĂ© non l'assistance psychologique et morale des hommes. Au contraire en Ă©tudiant rationnellement le rĂ©el elle le dĂ©senchante selon la belle formule de Max Weber. En soumettant le fait religieux Ă  l'enquĂȘte scientifique, la science disqualifie la religion en en faisant Ă  la maniĂšre freudienne le symptĂŽme d'une nĂ©vrose infantile ou Ă  la maniĂšre de Marx un opium du peuple. Dans tous les cas la religion est dĂ©noncĂ©e comme une aliĂ©nation et une illusion. Etre dans l'illusion c'est prendre des fictions pour des rĂ©alitĂ©s. Une illusion, Ă©crit Freud, est une reprĂ©sentation dans la motivation de laquelle la satisfaction d'un dĂ©sir est prĂ©valente » En nommant les dĂ©sirs trouvant Ă  se satisfaire dans la religion le savant ne fait pas l'Ă©loge de cette derniĂšre, il en dĂ©nonce au contraire le caractĂšre suspect. Et s'il pointe l'infĂ©rioritĂ© de la science sur ce terrain c'est parce que l'analyse des faits l'exige. Par principe la science est muette sur les questions qui importent le plus aux hommes. VoilĂ  pourquoi on peut Ă  la fois ĂȘtre un savant et un homme de foi. Le savant ne dĂ©loge pas en lui l'existant infiniment intĂ©ressĂ© Ă  trouver des rĂ©ponses Ă  ses questions mĂ©taphysiques, le savant n'Ă©radique pas en lui les attentes d'un sujet affectif ayant parfois besoin, pour se tenir debout de nourrir des espĂ©rances. Le savoir a des limites et ces limites mĂȘmes ouvrent un espace pour la croyance. Que celle-ci procĂšde de requĂȘtes affectives et soit Ă  ce titre suspecte Ă  l'analyse rationnelle ne suffit pas Ă  la disqualifier radicalement car il faudrait pour cela dĂ©montrer sa faussetĂ© et cela est rigoureusement impossible. L'existence de Dieu, l'espĂ©rance d'une vie aprĂšs la mort, la croyance en tel sens de l'existence, tous ces Ă©noncĂ©s ne sont ni des vĂ©ritĂ©s de raison ni des vĂ©ritĂ©s de fait ; la science ne peut par principe rien en dire. Il s'ensuit que la connaissance scientifique est compatible en fait avec la foi. La confiance en une parole dĂ©livrant un message sur les interrogations humaines les plus importantes, existentiellement parlant, n'est pas invalidĂ©e par le discours scientifique puisque celui-ci laisse les hommes totalement dĂ©munis en ce qui concerne ce genre de prĂ©occupations. Tout au plus l'Ă©thique scientifique peut-elle ĂȘtre une invitation Ă  penser qu'il en est du sens de la vie, des valeurs Ă  honorer, des espĂ©rances Ă  entretenir, ce qu'il en est de la vĂ©ritĂ© objective. C'est Ă  l'homme courageusement, en sujet majeur d'en dĂ©cider de la mĂȘme maniĂšre que c'est lui seul avec ses propres ressources qui bĂątit les savoirs. Mais n'est-ce pas trop demander Ă  la majoritĂ© des hommes ? N'ont-ils pas besoin du secours d'une transcendance qui, par son autoritĂ©, les dispense d'assumer la rĂ©ponse aux questions essentielles et leur donne la certitude dont ils ont besoin pour ne pas succomber au dĂ©sespoir et au sentiment de l'absurde ? Ce soupçon est, certes lĂ©gitime mais il ne doit pas conduire Ă  mĂ©connaĂźtre la spĂ©cificitĂ© de l'expĂ©rience de la foi. La mĂȘme honnĂȘtetĂ© intellectuelle que dĂ©veloppe l'esprit scientifique et qui devrait conduire le croyant Ă  un certain scepticisme Les dogmes ne sont-ils pas trop utiles pour ĂȘtre vrais ? devrait inviter le savant Ă  l'Ă©tonnement et Ă  la rĂ©serve. Car depuis que les religions ont lĂąchĂ© du lest dans leur fonction politique, la pratique religieuse cessant de relever d'un conformisme social s'est intĂ©riorisĂ©e. Elle est devenue une affaire de foi or la foi est, en toute rigueur, une expĂ©rience Ă©tonnante. On a la foi ou on ne l'a pas et on peut se demander si celui qui est Ă©tranger Ă  cette expĂ©rience est habilitĂ© Ă  en parler. La foi est une adhĂ©sion ferme de l'esprit, subjectivement aussi forte que celle qui constitue la certitude mais incommunicable par la dĂ©monstration » Lalande Quel est le sens de ce vĂ©cu ? Ce qui est Ă©tranger Ă  la dĂ©monstration est extĂ©rieur Ă  la science certes, mais n'est-ce pas une dimension de l'expĂ©rience humaine dont le savant doit prendre acte Ă  dĂ©faut de pouvoir l'expliquer scientifiquement ? Pascal en tirait prĂ©texte pour dire que Le cƓur a ses raisons que la raison ne connaĂźt pas » que c'est Le cƓur qui sent Dieu, et non la raison. VoilĂ  ce que c'est que la foi, Dieu sensible au cƓur, non Ă  la raison » PensĂ©es 277 et 279 B. Au fond le thĂ©ologien est tentĂ© de disqualifier la raison comme voie d'accĂšs au vrai et d'imposer la RĂ©vĂ©lation ou une lumiĂšre surnaturelle ; le savant qui ne reconnaĂźt pas d'autre autoritĂ© dans la constitution des savoirs que la raison et l'expĂ©rience est tentĂ© de disqualifier la croyance religieuse et c'est ainsi que le conflit est toujours ouvert. La rigueur rationnelle n'exige-t-elle pas, au contraire, de dĂ©limiter les places des uns et des autres et d'avouer modestement que le savoir ayant des limites, la croyance est irrĂ©ductible ; rĂ©ciproquement que la croyance reposant sur des principes aussi peu solides que des sentiments ou des affects, sur une adhĂ©sion silencieuse hors d'atteinte de la discussion critique ; voire se revendiquant radicalement irrationnelle croire mĂȘme si c'est absurde » peut ĂȘtre un solide bĂąton de voyage mais doit s'interdire toute prĂ©tention Ă  la vĂ©ritĂ© ? Freud termine sa rĂ©flexion en prĂ©cisant que la science aussi, rend des services aux hommes mĂȘme s'ils sont incommensurables avec ceux que rend la religion. De fait, en dĂ©gageant les lois qui rĂ©gissent les phĂ©nomĂšnes la science permet de faire des prĂ©dictions et d'agir sur le rĂ©el pour produire ou pour Ă©viter les faits prĂ©dictibles. Science d'oĂč prĂ©voyance, prĂ©voyance d'oĂč action » Ă©crit Auguste Comte. Ainsi est-il possible grĂące Ă  la connaissance d'Ă©viter certains pĂ©rils » et de lutter victorieusement contre certains dangers » L'efficacitĂ© technicienne tĂ©moigne bien de l'utilitĂ© du savoir scientifique mais enfin la science ne consolera jamais de la perte d'un ĂȘtre cher. Tout au plus enseigne-t-elle que c'est ainsi et que la seule attitude rationnelle est de prendre acte des faits. Ce que Freud appelle une attitude de rĂ©signation. La croyance en une Providence divine ou bien en un au-delĂ  oĂč nous nous retrouverons est en revanche nettement plus efficace en terme de soutien dans l'Ă©preuve. 3 La fonction politique et morale de la religion Elle rĂšgle leurs opinions et leurs actes en appuyant ses prescriptions de toute son autoritĂ© ». Freud souligne ici que toute religion dĂ©finit une morale. Une morale est un ensemble de rĂšgles auxquelles on doit conformer sa conduite. Ces rĂšgles distinguent un bien et un mal ; un permis et un interdit. Elles ont pour fin de rendre l'homme bon et de normer ses relations avec les autres. C'est dire leur intĂ©rĂȘt social ou politique. Les religions, selon l'Ă©tymologie, relient les hommes Ă  une transcendance pour mieux les lier les uns avec les autres et l'avantage d'un tel fondement de la morale ou de la politique saute aux yeux. Les dĂ©crets de Dieu ne se discutant pas, il n'y a pas de conflits d'opinions dans les sociĂ©tĂ©s fondĂ©es sur la religion ; ces dĂ©crets Ă©tant sacrĂ©s, leur puissance coercitive est sans commune mesure avec celle des lois simplement humaines. On ne peut pas, en effet, Ă©chapper au lĂ©gislateur divin comme on le peut avec le lĂ©gislateur humain. Le premier voit tout, le secret des cƓurs aussi bien que les conduites et si ce n'est pas dans cette vie il faudra rendre des comptes dans l'autre. Avouons qu'il y a de quoi rafraĂźchir les ardeurs sacrilĂšges ! Les religions assurent ainsi une stabilitĂ© et une cohĂ©sion du corps politique qui sont refusĂ©es aux systĂšmes ayant rompu avec la fondation religieuse. En tout cas de tels systĂšmes ne peuvent pas attendre de la science un quelconque secours. La science Ă©tudie ce qui est ; elle n'a aucune compĂ©tence pour prescrire ce qui doit ĂȘtre. Tous les grands penseurs le rĂ©pĂ©teront d'un indicatif on ne peut dĂ©duire un impĂ©ratif. Le champ moral et le champ politique mettent en jeu des valeurs et le discours portant sur les valeurs est extĂ©rieur Ă  la scientificitĂ©. Il n'y a ni science politique, ni science morale possibles. Tout au plus l'esprit scientifique peut-il dĂ©velopper chez ceux qui sont formĂ©s Ă  ses exigences des vertus morales l'honnĂȘtetĂ© intellectuelle, le courage, la rigueur, la capacitĂ© de prendre acte des faits, la modestie etc. mais la dĂ©termination des fins, le choix des valeurs sont compĂ©tence morale ou politique, non compĂ©tence scientifique. Conclusion Quelle que soit la fonction envisagĂ©e, la science ne peut dans les faits rivaliser avec la religion. La nature affective de l'homme, sa complaisance dans l'Ă©tat de minoritĂ© intellectuelle et politique, le besoin qu'il a d'une tutelle protectrice et d'une Parole le dispensant d'assumer l'angoisse de la libertĂ© ou de l'autonomie rationnelle fondent la toute puissance de la religion. En droit pourtant la science est bien supĂ©rieure sur le plan thĂ©orique mais elle a des limites qui lui font obligation de laisser une place Ă  la croyance et de reconnaĂźtre le mystĂšre de la foi. Partager Marqueursaffects, autonomie, crainte, croyance, espoir, foi, morale, politique, religion, rĂ©vĂ©lation, sacrĂ©, science Le verbe finir est du deuxiĂšme verbe finir se conjugue avec l'auxiliaire avoirTraduction anglaise to finish finir au masculin finir Ă  la voix active finir ? ne pas finir Imprimer Exporter vers WordPrĂ©sentje suis finietu es finieelle est finienous sommes finiesvous ĂȘtes finieselles sont finiesPassĂ© composĂ©j'ai Ă©tĂ© finietu as Ă©tĂ© finieelle a Ă©tĂ© finienous avons Ă©tĂ© finiesvous avez Ă©tĂ© finieselles ont Ă©tĂ© finiesImparfaitj'Ă©tais finietu Ă©tais finieelle Ă©tait finienous Ă©tions finiesvous Ă©tiez finieselles Ă©taient finiesPlus-que-parfaitj'avais Ă©tĂ© finietu avais Ă©tĂ© finieelle avait Ă©tĂ© finienous avions Ă©tĂ© finiesvous aviez Ă©tĂ© finieselles avaient Ă©tĂ© finiesPassĂ© simpleje fus finietu fus finieelle fut finienous fĂ»mes finiesvous fĂ»tes finieselles furent finiesPassĂ© antĂ©rieurj'eus Ă©tĂ© finietu eus Ă©tĂ© finieelle eut Ă©tĂ© finienous eĂ»mes Ă©tĂ© finiesvous eĂ»tes Ă©tĂ© finieselles eurent Ă©tĂ© finiesFutur simpleje serai finietu seras finieelle sera finienous serons finiesvous serez finieselles seront finiesFutur antĂ©rieurj'aurai Ă©tĂ© finietu auras Ă©tĂ© finieelle aura Ă©tĂ© finienous aurons Ă©tĂ© finiesvous aurez Ă©tĂ© finieselles auront Ă©tĂ© finiesPrĂ©sentque je sois finieque tu sois finiequ'elle soit finieque nous soyons finiesque vous soyez finiesqu'elles soient finiesPassĂ©que j'aie Ă©tĂ© finieque tu aies Ă©tĂ© finiequ'elle ait Ă©tĂ© finieque nous ayons Ă©tĂ© finiesque vous ayez Ă©tĂ© finiesqu'elles aient Ă©tĂ© finiesImparfaitque je fusse finieque tu fusses finiequ'elle fĂ»t finieque nous fussions finiesque vous fussiez finiesqu'elles fussent finiesPlus-que-parfaitque j'eusse Ă©tĂ© finieque tu eusses Ă©tĂ© finiequ'elle eĂ»t Ă©tĂ© finieque nous eussions Ă©tĂ© finiesque vous eussiez Ă©tĂ© finiesqu'elles eussent Ă©tĂ© finiesPrĂ©sentje serais finietu serais finieelle serait finienous serions finiesvous seriez finieselles seraient finiesPassĂ© premiĂšre formej'aurais Ă©tĂ© finietu aurais Ă©tĂ© finieelle aurait Ă©tĂ© finienous aurions Ă©tĂ© finiesvous auriez Ă©tĂ© finieselles auraient Ă©tĂ© finiesPassĂ© deuxiĂšme formej'eusse Ă©tĂ© finietu eusses Ă©tĂ© finieelle eĂ»t Ă©tĂ© finienous eussions Ă©tĂ© finiesvous eussiez Ă©tĂ© finieselles eussent Ă©tĂ© finiesPrĂ©sentsois finiesoyons finiesoyez finieParticipePassĂ©finifiniefinisfiniesayant Ă©tĂ© finieInfinitifGĂ©rondifRĂšgle du verbe finirVoici la forme gĂ©nĂ©rale de conjugaison des verbes en -ir formant leur participe prĂ©sent en -issant. La seule exception est du verbe finiraboutir - terminer - conclure - parvenir - rĂ©ussir - achever - parachever - parfaire - complĂ©ter - consommer - couronner - clore - accomplir - arrĂȘter - fixer - disparaĂźtre - pĂ©rir - mourir - montrer - manifester - expirer - quitter - cesser - perdre - filer - supprimer - effacer - fignoler - raffiner - polir - enjoliver - interrompre - rompre - couper - briser - casser - suspendreDĂ©finition du verbe finir1 Achever, terminer, arriver Ă  Ă©chĂ©ance, cesser, finaliser. 2 Être Ă  la fin, au terme de quelque chose3 Arriver Ă  une certaine fin ex tout ceci finira mal4 Mourir ex finir sa vieEmploi du verbe finirFrĂ©quent - Intransitif - Transitif Tournure de phrase avec le verbe finirVerbes Ă  conjugaison similaireaboutir - accomplir - agir - agrandir - applaudir - approfondir - atterrir - avertir - bĂątir - bondir - choisir - compatir - convertir - dĂ©finir - Ă©claircir - Ă©largir - enrichir - envahir - Ă©tablir - finir - fournir - franchir - garantir - grandir - grossir - investir - rĂ©flĂ©chir - remplir - rĂ©unir - rĂ©ussir - saisir - subir Accueil ‱Ajouter une dĂ©finition ‱Dictionnaire ‱CODYCROSS ‱Contact ‱Anagramme Elles sont le dĂ©but de quelque chose — Solutions pour Mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s Recherche - Solution Recherche - DĂ©finition © 2018-2019 Politique des cookies.

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